30
septembre 2012
Pour faire suite à l’étude de l’INSERM sur la prolifération des cancers de la prostate dans le département de l’Hérault, département qui est exempt d’industrie mais pas de viticulture avec toutes ses recettes chimiques pour désherber ou dynamiser la vigne. Je vous communique une étude qui avait été faite dans ce sens aux Antilles françaises, région qui a un des taux les plus élevés au monde.
Pour faire suite à l’étude de l’INSERM sur la prolifération des cancers de la prostate dans le département de l’Hérault, département qui est exempt d’industrie mais pas de viticulture avec toutes ses recettes chimiques pour désherber ou dynamiser la vigne. Je vous communique une étude qui avait été faite dans ce sens aux Antilles françaises, région qui a un des taux les plus élevés au monde.
Cette étude montre que le cancer de la prostate tel qu’observé aux Antilles françaises est déclenché par une contamination de l’environnement par les pesticides organochlorés. Il a été suggéré auparavant que les facteurs de prédispositions génétiques étaient prédominants dans l’incidence des cancers de la prostate (avec 152 nouveaux cas pour 100 000 personnes, un des taux les plus élevés au monde). Cependant, une analyse comparative avec les autres états des Caraïbes a exclu cette hypothèse. La contamination importante des sols et des ressources en eau des Antilles due à l’utilisation de pesticides dans les plantations de bananes a donc été suspectée et validée par cette étude. Il est à noter que des taux extrêmement élevés de pesticides organochlorés avaient déjà été détectés dans le sang des populations en 1972 (DDT, DDE, alpha, beta et gammaHCH, aldrine and dieldrine). Ainsi il est suggéré que l’exposition prolongée aux pesticides organochlorés jouerait un rôle dans l’étiologie des cancers de la prostate.
Sources : http://www.victimes-pesticides.fr
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